Charlie Chaplin et le sosie de Charlot: quand le faux l'emporte sur le vrai !

"Un jour, Charlie Chaplin, de passage à Monaco, se présenta à un concours de sosies.

Il se costuma en " Charlot " et termina troisième. Soupir !

Etait-il trop vrai pour être faux ?

Ce jour-là, deux sosies l'ont emporté sur le Maître.

Charlot a toujours été humble, ce jour là encore plus."

Extrait d'article de Xavier Huon (brest)

Souce:www.votrejournal.net

Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j'ai compris qu'en toutes circonstances,

j'étais à la bonne place, au bon moment. Et j'ai alors pu me relaxer.

Aujourd'hui, je sais que ça s'appelle Estime de soi.

Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j'ai pu percevoir que mon anxiété et

ma souffrance émotionnelle, n'était rien d'autre qu'un signal lorsque je vais

à l'encontre de mes convictions.

Aujourd'hui je sais que ça s'appelle Authenticité.

Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j'ai cessé de vouloir une vie différente

et j'ai commencé à voir que tout ce qui m'arrive contribue à ma croissance

personnelle.

Aujourd'hui je sais que ça s'appelle Maturité.

Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j'ai commencé à percevoir l'abus 

dans le fait de forcer une situation, ou une personne, dans le seul but

d'obtenir ce que je veux, sachant très bien que ni la personne ni moi-même

ne sommes prêts et que ce n'est pas le moment.

Aujourd'hui, je sais que ça s'appelle Respect.

Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j'ai commencé à me libérer de tout

ce qui ne m'était pas salutaire, personnes, situations, tout ce qui baissait

mon énergie. Au début, ma raison appelait ça de l'égoïsme.

Aujourd'hui, je sais que ça s'appelle Amour Propre.

Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j'ai cessé d'avoir peur du temps libre

et j'ai arrêté de faire de grand plans, j'ai abandonné les méga-projets futur.

Aujourd'hui, je fais ce qui est correct, ce que j'aime, quand ça me plait et à

mon rythme.

Aujourd'hui, je sais que ça s'appelle Simplicité.

Le jour où je me suis aimé pour de vrai,j'ai cessé de chercher à toujours avoir

raison et me suis rendu compte de toutes les fois où je me suis trompé.

Aujourd'hui, j'ai découvert l'Humilité.

Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j'ai cessé de revivre le passé et 

de me préoccuper de l'avenir.

Aujourd'hui, je vis une seule journée à la fois, et ça s'appelle Plénitude.

Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j'ai compris que ma tête pouvait

me tromper et me décevoir, mais si je la mets au service de mon coeur,

elle devient un allié très précieux.

Tout ceci est Savoir Vivre.

CHARLIE CHAPLIN

Source: my.opera.com/coppermine4/blog

Les cinq libertés dans le relation de couple,par Viginia Satir :

1.la liberté de considérer le présent- et non ce qui fût ou ce qui devrait être-

et de le faire partager à son partenaire.

2.La liberté de penser ce que l'on pense vraiment -et non ce que l'on devrait penser-

et de le faire partager à son partenaire .

3.La liberté de ressentir ce que l'on ressent vraiment- et non ce que l'on devrait

ressentir-et de le faire partager à son partenaire.

4.La liberté de désirer et d'opter pour ce que l'on veut vraiment- et non pour ce que 

l'on devrait désirer- et le faire partager à son partenaire.

5.La liberté de concevoir comment se réaliser soi-même -plutôt que de s'enfermer

dans un rôle rigide ou de toujours jouer la sécurité- et faire partager cette

conception à son partenaire.

Première étape. Analysez ce que vous attendez de votre partenaire sur le plan de la

communication, des rapports sexuels, de l'éducation des enfants, des centres

d'intérêts, des finances, des valeurs, et de la direction que vous voulez donner à

votre vie commune.Dans vos exigences, y en a-t-il qui n'ont pratiquement aucune

chance d'être satisfaites? Dégagez celles qui proviennent de l'image que vous vous

faites du partenaire idéal. Commencez par un domaine dans lequel vous êtes

fréquemment en désaccord.

Seconde étape. Demandez à votre partenaire s'il a décelé chez vous des exigences

irréaliste, en vous référant aux domaines mentionnés dans le paragraphe

précédent.Voyez ensemble comment des exigences irréalistes de part et d'autre

peuvent vous empêcher de vous accepter l'un et l'autre tels que vous êtes, et de

respecter les cinq libertés.

 Aimer veut donc dire donner inconditionnellement, c'est-à-dire sans avoir

la mort dans l'âme et sans rien regretter. Pour cette raison et dans

l'intérêt d'autrui, l'homme se doit de ne jamais servir SPIRITUELLEMENT

que lui-même, car seul le surplus, l'être est en mesure de le donner

inconditionnellement. A se remplir alors qu'il est déjà comblé, l'être ne

peut plus que déborder et répandre autour de lui des flots de richesse

spirituelles dont profitent ses proches et au delà l'humanité tout entière.

Donner SPIRITUELLEMENT avant de déborder, c'est de la charité malsaine,

du dévouement professionnel. " Charité bien ordonnée commence par soit

même! "

Le bonheur c'est d'être soi !

Auteur ??? ( je vais le retrouver..)

L'égoïsme sacré:

Quand un être accède à lui-même, c'est un soleil qui s'allume

parmi les hommes.

Auteur ???