• Photo et réalisation  :  Êve.

     

    "L'Autre en soi  est en quelque sorte un cheval de Troie

     que le socio-culture a introduit en nous et qui, de surcroît, 

     vit de notre propre énergie. Imaginons un dialogue entre eux:

     

     

    MOI

    Je désire le bonheur, je veux le bonheur !

     

    L'AUTRE

    Mais tu n'y songes pas. As-tu oublié que tu es sur terre

    Pour souffrir dans le but de mériter le paradis ?

     

    MOI

    Je suis sur terre dans le but d'exprimer le divin:

    l'amour, l'abondance, l'intelligence infinie...

     

    L'AUTRE

    Quel monument d'orgueil ! Mais pour qui te prends-tu donc?

     

    MOI

    Pour ce que je suis ! Une créature d'essence divine!

     

    L'AUTRE

    Tu n'es qu'un misérable ver de terre, un misérable pécheur,

    une poussière de rien du tout!

     

    MOI

    Certes, je commets l'erreur de maudire ceux qui m'ont 

    fait du mal mais tout peut se transformer

     

     

    L'AUTRE

    On est comme on est, on ne se refait pas.

     

    MOI

    Tout est possible à l'homme!

     

    L'AUTRE

    Non, tu ne peux pas, tu ne pourras jamais, jamais

    jamais...car on est comme on est.

     

     

         La suprématie de l'Autre est ( presque) absolue, cependant

    lui aussi a son talon d'Achille car malgré une invraisemblable

    obstination, il finit par se plier à tout ordre d'où qu'il vienne

    et quelque soit sa nature, à condition qu'il soit répété avec...

    obstination.

    Pour que les valeurs que j'ai  consciemment choisies soient

    effectivement celles qui gèrent mon destin et qu'ainsi

    je devienne un être libre, il est indispensable d'en imprégner

    l'inconscient au moyen du travail spirituel".

     

    L'amour clé du bien "être". Roger Fix


    votre commentaire
  • Photo: Claudia X.Lombana

     

    "Plus l'homme est amoureux de la lumière, plus il découvre en lui-même

     

    sa propre obscurité.Il plonge en lui même son regard lucide."

     

    "S'adonner à la psychologie des profondeurs exige, selon Jung,

     

    de pénétrer dans le mystère dionysiaque; le côté obscur,

     

    chthnien ne saurait être négligé dans une voix de retour vers soi-même.

     

    L'amour de la lumière ne peut faire oublier l'importance de l'obscur."

     

    C.G.Jung


    votre commentaire
  •  

    "L'Amour ne peut pas être fragmenté par la pensée.

     

    Lorsque la pensée le livre en morceaux, dénommés

     

    amour impersonnel, personnel, sensuel, spirituel,

     

    amour pour mon pays, pour  votre pays, pour mon désir,

     

    pour le vôtre, il n'y a plus d'amour, c'est quelque chose 

     

    de tout à fait différent. C'est le produit de certains souvenirs,

     

    de certaines propagandes, d'habitudes commodes, etc."

     

    KRISHNAMURTI. la révolution du silence.

     


    votre commentaire
  •  

    Jean Yves Leloup nous parle d'une femme :

     

    ..." Myriam l'avait entendue cette voix qui lui ouvrait

     

    le chemin, cette voix lui rappelait qu'elle n'était pas

     

    seulement la somme et la conséquence de ses actes

     

    passés, mais aussi la source de ses avenirs..."

     

    "Une femme innombrable. Le roman de Marie- Madeleine ".

     

    Et " L'Evangile de Marie, Myriam de Magdala"

     

    ♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥ 


    votre commentaire
  •  

    "Je ne pouvais m'empêcher de penser que le mot Deus

     

    en latin, voulait dire" jour lumineux", "Pure Lumière;

     

    aussi lorsque nous disons que nous sommes à la recherche

     

    de Dieu ou que nous voulons vivre une vie d'union avec Lui,

     

    nous parlons de cette Pure Lumière.

     

    Le prologue de saint Jean nous dit:" Le Logos est la Lumière

     

    qui éclaire tout homme venant en ce monde", non seulement

     

    les chrétiens, mais tout homme, et tout homme illuminé

     

    de cette Pure Lumière connaît la Vie véritable."

     

    L'enracinement et l'ouverture conférence de la Sainte Baume/ Jean Yves leloup

     

     


    votre commentaire